Notre Histoire

De la création à la deuxième guerre mondiale :

L’Association des Amis de la Radiesthésie a été créée à Lille, le 29 décembre 1929, par l’abbé Alexis Bouly curé de Condette et d’Hardelot Plage, département du Pas de Calais, suite à la demande d’amis lillois, plus particulièrement de Léon Delattre et Théo Gravez qui assistaient à ses conférences et demandaient la création d’une association pour l’étude et le développement de la radiesthésie. Son siège social se situait 91 rue de l’Hôpital Militaire à Lille.

Des noms prestigieux figurent parmi ses membres fondateurs : Edouard Branly, inventeur de la TSF et Arsène d’Arsonval, fondateur de l’électrothérapie ,membres de l’Institut; Henri Deslandres, directeur des observatoires de Paris et de Meudon,membre de l’Académie des Sciences: l’abbé Mermet, « Prince des Sourciers », les vicomtes Henry de France père et fils; le docteur Foveau de Courmelles, doyen des radiologues français, pionnier de la chromothérapie, le docteur Gédéon Meillère président en 1932 de l’académie de Médecine, etc…

Président fondateur, l’abbé Bouly demanda à Henry de France père de venir présider la séance d’inauguration qui eut lieu à l’hippodrome de Lille le 29 janvier 1930, où l’abbé fit une conférence devant plus de 500 personnes, ce qui valut un afflux d’adhésions à l’association. L’abbé Bouly, premier radiesthésiste au monde, puisque inventeur, dans les années 1920, du mot radiesthésie avec son ami l’abbé Bayard, était un sourcier très connu pour ses recherches d’eau. C’est lui qui trouva de l’eau douce aux îIes Canaries, ce qui permit l’expansion des cultures de bananes et de primeurs, il se rendra trois fois dans ces îIes. De même en 1918, le service de déminage de l’armée lui demandera de détecter les obus non éclatés de la première guerre mondiale sur le champ de bataille de Bailleul dans le Pas de Calais. Cela lui vaudra d’être décoré de la légion d’honneur en 1950 pour services rendus à la nation.

Très pris par ses nombreuses activités, l’abbé Bouly abandonna la présidence de l’association quelques semaines après cette réunion inaugurale. Il fit élire à sa place le vicomte Henry de France père, qui fut le premier à publier une revue mensuelle de radiesthésie entre octobre 1930 et 1940 : « la Chronique des Sourciers ». Suite à une conférence, il fut même chargé d’un cours de radiesthésie à l’école militaire des officiers de Versailles. Lui-même habitant loin de Lille ne pouvait pas faire grand chose pour le développement de l’association, il confia l’essentiel de sa gestion à son vice-président, Léon Delattre et à son secrétaire général Gustave Frealle, ingénieur des mines.

Fin 1930, l’AAR compte 160 adhérents, et c’est en décembre que paraît le premier bulletin de l’association. Enthousiaste, ayant un passé de journaliste, Henry de France trouve que le titre Association des Amis de la Radiesthésie est très bon. Voici son opinion : «Radiesthésie, le mot proposé par l’abbé Bouly et signifiant perception des radiations a la qualité d’englober tout ce dont s’occupent les sourciers, eau, minerais, maladies et même pas mal d’autres choses …Quant aux Amis, c’est une trouvaille, cela permet de faire appel à quantité de gens qui ne sont nullement sourciers, mais qui s’intéressent d’une manière plus ou moins lointaine à notre art »

En 1933, Armand Viré, ancien directeur du laboratoire de biologie souterraine du Muséum d’Histoire Naturelle à Paris devient président. Très actif, il organisera de très nombreuses sorties et expériences de terrain au sein de l’association. Géologue, spéléologue, il devint un sourcier réputé, découvrant un atelier de faux monnayeurs datant de la Fronde. Pendant la première guerre mondiale, il repéra sur le front de l’Artois, sous les obus, de nombreuses cavités qui permirent d’abriter les blessés; il trouva même dans une de ces cavités un magot d’or caché par un marchand de vin venu fournir les poilus. Il permit aussi la découverte de nombreuses salles inconnues dans les grottes de Lacave en compagnie de l’abbé Mermet. Fin 1934, l’association compte 1850 adhérents.

L’abbé Alexis Mermet, « prince des sourciers », succède à Armand Viré pour l’année 1935, l’assemblée générale de 1934 ayant décidé que les mandats deviendraient annuels. L’abbé Mermet est alors au faîte de sa popularité, son livre «Comment j’opère» publié en 1932 en est déjà à sa troisième édition, il est connu et respecté dans le monde entier. L’objectif est d’atteindre le 2000ème membre dans l’année. Le bulletin est tiré à 2000 exemplaires et est expédié dans 25 pays. Tout comme l’abbé Bouly, l’abbé Mermet n’était pas très satisfait du mot radiesthésie pour désigner le renouveau de cet art millénaire. Voici d’ailleurs ce qu’il en disait: « D’abord, ce mot prend place, par ses deux premières syllabes, à côté d’une quantité d’autres mots qui commencent de la même manière et qui ont comme racine les deux syllabes, radi, qui viennent du latin radius, rayon, tels : radiographie, radiologie, etc .. Puis on a cherché un mot qui traduise la perception du rayon et on l’a trouvé dans la langue grecque, c’est aisthesis, qui veut dire sensibilité. Donc la Radiesthésie c’est la faculté de percevoir les rayonnements des corps, et radiesthètes, ou radiesthésiens, ou encore radiesthésistes, ceux qui possèdent cette sensibilité… J’avoue que le mot est un peu long et d’une prononciation pas très facile, mais, faute de mieux pour le moment, l’on a du moins trouvé l’expression adéquate qui répond à l’objet d’une science qui veut s’occuper des ondes et des radiations des corps»

Ces années sont des années d’euphorie et de croissance exponentielle pour l’association qui voit en peu de temps le nombre de ses adhérents passer de 130 à plus de 1800. Du fait de cet accroissement d’adhérents, dont de nombreux parisiens, une permanence est ouverte 105 boulevard de Magenta, dans le 10ème arrondissement, près de la gare du Nord à Paris, dès 1932. Les créations de sections se multiplient, et c’est l’époque des conférences dans toute la France et même à l’étranger, Suisse, Belgique, Italie… Les congrès se suivent: 1932, 1933, 1934,1935… La presse s’empare du sujet, tous les grands périodiques et quotidiens publient des articles sur la radiesthésie, ses applications s’étendent à tout, une section médicale regroupant plus de 200 médecins, pharmaciens, vétérinaires, et dentistes est créée au sein de l’AAR.

Un développement si rapide pose souvent quelques problèmes de gestion, ce fut le cas pour l’AAR, les tournées de conférences ainsi que l’édition du bulletin font que l’association manque cruellement de trésorerie; en 1935, c’est en fait son président, l’abbé Mermet, qui, par ses avances de fonds permet à l’AAR de se maintenir financièrement; il fera même un don de 5000 francs de l’époque à l’association sur les sommes dues. Malgré ces difficultés, il est décidé rémunérer le secrétaire général.

C’est aussi l’époque des premières attaques contre la radiesthésie, en mars 1935, le docteur Rendu, qui passera sa vie à organiser des expériences vouées à l’échec lui permettant d’affirmer que « la radiesthésie est un art plus ou moins inconscient d’abuser de la crédulité humaine », fait appel aux sourciers dans l’hebdomadaire la Vie Catholique, pour un concours relatif à la découverte de trésors enfouis. Notre président, l’abbé Mermet, publiera immédiatement une mise en garde à l’encontre de ce type d’expériences.

En 1936, c’est le docteur Foveau de Courmelles, doyen des radiologues de France et pionnier de la chromothérapie qu’il inventa en 1890, qui est élu président. Le bureau décide de réduire momentanément le train de vie de l’association en supprimant les conférences en province. Malgré cela les difficultés s’accumulent, faute d’argent, seuls quatre bulletins seront publiés au cours de cette année, en janvier, février, mars et avril. Le siège social est transféré 105 boulevard de Magenta à Paris. A l’encontre des statuts, une activité commerciale privée est créée dans les locaux de l’association, la « Librairie de la Radiesthésie ». Le président et son bureau n’arrivent pas à inverser la tendance, certains adhérents ne renouvellent pas leur cotisation.

En janvier 1937, la crise éclate au grand jour, l’association est pratiquement en cessation de paiement, on parle même de dissolution !! Afin de redresser la situation, il est fait appel à maître Charles Brouard, avocat à la cour d’appel de Paris, radiesthésiste émérite et depuis plusieurs années conseiller juridique de l’AAR. Il prend la présidence d’un nouveau bureau chargé de remettre l’association sur ses rails en réduisant les frais et en comblant la dette. Sept bulletins seront publiés au cours de cette année. Le 17 septembre, avec le décès de l’abbé Mermet, le monde de la radiesthésie est en deuil.

L’assemblée générale de janvier 1938 fait ressortir un redressement de l’association, le nouveau président, le colonel Ridoux, peut envisager l’avenir sereinement. Versé dans les recherches sur le magnétisme et la lumière, il fut aussi l’inventeur d’une sorte de « pré-radar » qu’il dut détruire lors du congrès de Liège, en 1939, à la veille de la guerre, devant le trop grand intérêt que certains lui portaient. Afin d’éviter les problèmes passés, de nouveaux statuts sont adoptés. L’association organise en novembre un congrès de radiesthésie biologique présidé par Henry de France père, réunissant nombreux médecins. Le bulletin paraît régulièrement. Un arrangement financier est trouvé avec les héritiers de l’abbé Mermet. Le colonel Ridoux est reconduit dans ses fonctions pour l’année 1939. Un nouveau siège social est trouvé 10 rue de Lancry à Paris. Des sorties et des conférences régulières sont organisées. Un congrès international à lieu à Liège en Belgique du 7 au 10 juillet 1939.

Les événements se précipitent, suite à l’invasion de la Pologne, la Grande Bretagne et la France déclarent la guerre à l’Allemagne le 3 septembre 1939. La revue cesse de paraître au numéro 62 d’août-septembre 1939. Bientôt l’association se mettra en sommeil, mais ceci est une autre histoire… (voir Notre Histoire, « de la deuxième guerre mondiale à l’an 2000 »).

 

De la deuxième guerre mondiale à l’an 2000 :

Après un temps de flottement, et l’envahissement de la France en 1940, force est de constater que I’AAR n’a plus de ressources par manque de la rentrée des cotisations, de plus ses dirigeants et certains membres sachant qu’ils peuvent être requis ou arrêtés par l’ennemi, cessent toute activité et quittent même la capitale. L’association se met en sommeil, ses adhérents entrent dans l’ombre.

Le 22 juin 1940, c’est l’armistice, la France est occupée. Pendant quelques mois, les parisiens se retrouvent dans un coin isolé de la salle du café Barbotte que le patron leur réserve, loin des oreilles indiscrètes. Fin 1941, Charles Brouard fait part à quelques amis de son envie de recommencer à diffuser la connaissance de la radiesthésie à travers des réunions privées, mais il ne sait pas comment faire. Aussitôt, mademoiselle Jeanne Simond, secrétaire de l’association propose son appartement. C’est ainsi que naît le « cours de radiesthésie de guerre ». Ces réunions clandestines eurent d’abord lieu le vendredi après midi, puis le jeudi soir. Il y avait même des exercices pratiques effectués à l’extérieur pour prendre les radiations des obus. Malgré des menaces de dénonciation, Mademoiselle Simond tint bon et les cours se poursuivirent jusqu’à la fin des hostilités. Cette ténacité lui vaudra d’être nommée présidente honoraire.

La première assemblée générale suivant la fin de la guerre se tient le 23 février 1946, 125 membres sont présents, il faut relancer l’association, et c’est de nouveau à Charles Brouard que l’on fait appel comme président. Les statuts sont modifiés et grâce aux précautions prises par la trésorière, ainsi qu’à l’aide financière apportée par Alfred Lambert propriétaire de la « Maison de la Radiesthésie », l’association se trouve à jour de toutes ses dettes et avec un pécule pour redémarrer. Le siège de l’association est provisoirement maintenu chez Mademoiselle Simond, 2 place Gambetta.Le premier numéro d’après guerre de la revue paraît au mois de mai 1946, c’est le numéro 63, de mensuelle, la revue devient bimestrielle.

A peine la radiesthésie renaÎt-elle, que déjà on l’attaque dans la presse et la radio, les organes officiels veulent réglementer sa pratique (ordonnance du 24 septembre 1945, relative à l’exercice et à l’organisation des professions médicales). C’est aussi le début des divergences de vues entre les tenants de la radiesthésie scientifique et de la radiesthésie mentale. Malgré cela, les conférences, les réunions et les sorties reprennent. Les adhésions augmentent, mais jamais nous n’atteindrons les chiffres d’avant guerre, nous arrivons aux environs des 450 à 500 membres.

Un premier congrès de radiesthésie biologique organisé par l’association des médecins radiesthésistes à lieu en octobre 1947 à Paris. En juin 1952, un pèlerinage en souvenir de l’Abbé Mermet est organisé à Jussy et dans son village natal des Ollières où une plaque sera apposée sur sa maison familiale. C’est la période des procès intentés contre les radiesthésistes médicaux, notre président en appelle à la prudence et à la discrétion. Un Comité belge pour l’Investigation Scientifique des Phénomènes Réputés Paranormaux est créé, ses membres essayant de discréditer la radiesthésie, par dérision, les radiesthésistes le surnommeront le comité Para. Le docteur Rendu continue ses démonstrations anti- radiesthésie.

Il faudra attendre 1954 pour qu’un congrès international permette enfin à tous les radiesthésistes de se réunir. Il a lieu à Paris sous la présidence de Gabriel Lesourd, pharmacien, radiesthésiste éminent, membre de I’AAR et responsable du bulletin de l’association depuis 1946. Grâce à sa diplomatie, l’affrontement entre scientifiques et mentalistes sera évité. Cette année verra aussi la création du Syndicat National des Radiesthésistes dont nous trouvons parmi les membres fondateurs le Père Jean Jurion et
Jean Auscher deux radiesthésistes célèbres. L’association transfère son siège social 157 boulevard saint Germain à Paris.

En 1956, un congrès mondial de radiesthésie à lieu en Suisse à Locarno, sous la présidence du docteur Casasopra, à l’issue de celui-ci, l’Union Mondiale des Radiesthésistes, U.M.R.A. sera créée, son premier président en sera le docteur Casasopra. Notre association voit le docteur Paul Châtelain succéder à Charles Brouard comme président. C’est un vétérinaire, ancien professeur à l’Ecole Vétérinaire de Hanoï, vice-président depuis 1946, radiesthésiste respecté. A la fois poète et fabuliste, il est aussi président de l’association « La Chanson Française » et organise des concerts et des spectacles auxquels il participe. Les conférences et les sorties se poursuivent. Il devient aussi gérant du bulletin en remplacement de Gabriel Lesourd. Le docteur Châtelain restera à la présidence jusqu’à fin 1971.

En 1972, monsieur Gaston Oudotte devient président pour une année, il est l’inventeur d’un appareil de mesures biologiques appelé « Ondobiomètre » qui fut vendu pendant plusieurs années par la Maison de la Radiesthésie.

En avril 1973, c’est le vicomte Henry de France fils qui est élu président de notre association. Radiesthésiste mondialement connu, membre fondateur de I’AAR aux côtés de son père, officier de radio de la marine marchande, journaliste, peintre, écrivain, auteur de nombreux livres dont son dernier « Radiesthésie Théorique et Pratique » bien qu’épuisé est toujours d’actualité et se trouve facilement en occasion. Conférencier hors pair, il organise de nombreuses activités et des cours de radiesthésie, il met en place un repas-conférence trimestriel qu’il appellera le « DÎner des Sourciers ». Le siège social passera au 12 rue du Terrage dans le 10ème arrondissement puis à Parmain en 1982 et rue des Prouvaires dans le 1er arrondissement en 1985. C’est aussi à partir de l’année 1982 que notre bulletin devient trimestriel.

Henry de France restera président jusqu’en mai 1992, date à laquelle il se retirera pour raisons de santé. Du fait de ses très longs et très appréciés services, Henry de France est nommé président d’honneur de l’association. Il décèdera en avril 1993. Le comité directeur portera alors madame Henry de France à la présidence d’honneur. C’est pendant cette période, que petit à petit, comme les activités et les réunions sont centralisées sur Paris et sa région, les adhérents de province diminuent et que notre association se « parisianise », le seul lien restant avec les provinciaux et les adhérents habitant à l’étranger étant le bulletin et éventuellement l’assemblée générale annuelle.

En 1992, Henri Rullier, jusqu’alors vice-président, est élu à la présidence. Les 13 et 14 novembre 1993 le premier congrès européen de la radiesthésie, organisé par le Syndicat National des Radiesthésistes, se tient à Paris, à l’hôtel Hilton. Henri Rullier démissionnera pour raisons personnelles en mai 1994 après 19 ans passés dans l’association, dont 14 années comme membre du comité, 4 ans comme vice-président et 3 comme président. André Lafaye responsable de la communication assurera l’intérim pour quelques mois. Notre association entre à nouveau dans une période agitée et se retrouve en situation précaire, l’AAR devra même faire reconnaître ses droits par la justice.

En 1995, monsieur René Lemarchand ancien secrétaire accepte le poste de président afin d’assainir la situation. Son but: relancer l’étude de la radiesthésie et augmenter le nombre d’adhérents. Le siège social est transféré au 163 rue Saint Honoré dans le 1er arrondissement. En 1996, l’association compte 293 membres, c’est à cette époque que Bruno Allione devient membre du comité. En 1997, le siège social est transféré 20 rue Saint Nicolas dans le 12ème arrondissement.
Le vingt et unième siècle arrive, pour continuer notre histoire, voir( Notre Histoire, « de l’an 2000 ou presque…, à nos jours ». )

 

De l’an 2000 ou presque…, à nos jours :

En 1998, Bruno Allione, architecte, géobiologue devient à son tour président, il mettra tout en œuvre pour développer I’AAR et lui faire retrouver son rayonnement. Il s’entoure d’une nouvelle équipe dynamique, dont François Ferval-Chanut secrétaire général. Il organise des sorties annuelles qui permettent de regrouper tous les membres disponibles et à partir de 2004, une journée pour les adhérents du Sud-Est a lieu à Cotignac dans le Var chez notre secrétaire général.
D’origine italienne, Bruno Allione noue des contacts avec l’association italienne de radiesthésie; il écrira aussi plusieurs livres dont « le pendule de l’architecte ». L’association est relancée, les adhérents sont en augmentation, malheureusement, Bruno Allione décédera subitement le 28 février 2006 laissant I’AAR orpheline.
D’un commun accord, le bureau décide d’assumer collégialement la présidence jusqu’à l’assemblée générale de 2007. Au mois de mai, Armand Rozenblum, ingénieur CEA, radiesthésiste reconnu pour ses expériences sur la sauvegarde des abeilles et l’étude de l’O.L.O.M. (oscillateur à ondes multiples Lakhovsky) est élu président. Homme de contact, lui aussi s’attache avec succès au rayonnement de l’association en augmentant le nombre d’adhérents et en diffusant la connaissance de la radiesthésie.
Des cours d’initiation, des journées de formation, des sorties et des stages sont organisés en plus des conférences toujours appréciées. Après plusieurs changements d’adresses, le siège social de l’association est fixé au 9 rue Larrey dans le 5ème arrondissement. Des contacts sont pris avec le syndicat national des radiesthésistes, et en juin 2007, I’AAR adhère à la COEMARA (Confédération Européenne des Magnétiseurs et des Radiesthésistes).
L’association dont le nombre d’adhérents est en constante progression compte actuellement plus de 300 membres.
Depuis 2010, c’est Georges Bessi qui assure la présidence de l’A.A.R. en association avec les membres du bureau, Jacqueline Reverdy, chargée des cours de radiesthésie, François Ferval-Chanut, secrétaire général et trésorier et Alain Mauméné.
L’association qui a rajouté la « radionique » et la « géobiologie »  à sa discipline de base 
est en train d’écrire une nouvelle page de son histoire avec l’aide de tous ses membres…